http://www.auto-motor-und-sport.de/fahr ... 92674.html
Il y a aussi des photos en action :

T'es serieux, là???Web a écrit :c'était des F1 Activa ?
il n'y a aucune différence de technologie, le correcteur d'assiette c'était déjà de série sur les M5 E34![]()
Comme le disait Barjack les Williams championnes du monde il y a plus de 20 ans étaient équipées de suspensions pilotées, et je doute que ce soit pour le marketing ou les dos d'âne.Biki a écrit :
Pour les suspattes, avoir plusieurs types de confort, c'est bien oui mais globalement c'est rare que ce soit aussi efficace que des vrais suspattes mécaniques élaborées et plus coûteuses que les suspattes pilotées (la plupart sont merdiques et sont surtout là en argument marketing).
Les suspattes pilotées sur les compactes c'est de la merde globalement, c'est du piloté bas de gamme, alors pour le même prix on a des amortos hdg, voilà la raison et c'est ce que fait Renault.SebRS a écrit :Comme le disait Barjack les Williams championnes du monde il y a plus de 20 ans étaient équipées de suspensions pilotées, et je doute que ce soit pour le marketing ou les dos d'âne.
Ce n'est pas pour rien que le système est interdit depuis longtemps et que les ingénieurs cherchent régulièrement à le réintroduire de manière détournée.
Pour Renault je pense plus que c'est un raisonnement économique. Combien ça va me coûter, pour combien de clients en plus. Sachant comme tu le dis qu'on peut faire un bon compromis mécanique.
Ce n'était pas sur les 1ers mulets de la nouvelle Alpine qu'ils testaient apparemment des Ohlins ?Web a écrit :Des amortos haut de gamme chez Renault ?![]()
A moins qu'ils montent des Ohlins d'office perso j'en doute...
Le son ne me choque pas mais les prouts ils auraient pu s'en passer effectivement !!Web a écrit :de l''extérieur le son est déjà nettement moins bandant bizarrement, en plus elle fait des prouts bien dégueux comme les VW
Trois questions à Thierry Coquiot, chef de projet Adaptation moteur chez Renault
Comment les ingénieurs de Renault ont-ils travaillé avec ceux de Renault Sport pour mettre au point ce nouveau moteur et l’adapter à Espace ?
« Dès le départ du projet, le cahier des charges était de développer un moteur à la fois compatible pour Nouvelle Alpine A110 et Espace. Pour Alpine, un véhicule ultra léger, la priorité visait la puissance et le régime de rotation maximal du moteur. Pour Espace, synonyme d’utilisation plus “civilisée”, le besoin était plutôt orienté vers la recherche de couple à bas régime pour rendre le véhicule plus dynamique et améliorer le plaisir de conduire.
Fortes de leur expérience des moteurs sportifs, les équipes de Renault Sport ont travaillé sur ce cahier des charges, avec le support des ingénieurs de Renault, pour développer un moteur couvrant l’ensemble de ces contraintes. Par ailleurs, grâce aux liens tissés entre Renault Sport et Renault Sport Formula One Team, certains calculs nécessaires pour l’Alpine (traitement thermique sur la culasse par exemple) ont été réalisés par les ingénieurs de la F1, ce qui profite directement à Espace. On a donc sous le capot de ce dernier un moteur, certes “assagi”, mais qui a dans ses gènes tout d’un moteur sportif. »
Quelles sont les grandes évolutions techniques qu’il a reçues par rapport à l’ancien Energy TCe 200 EDC ?
« Nous avons d’abord travaillé sur les pistons, les bielles et le vilebrequin pour faire passer la cylindrée de 1,6 à 1,8 litre. Le vilebrequin, qui est celui de l’Alpine, compte désormais 8 contrepoids au lieu de 4, pour prendre en compte l’augmentation de régime : il est capable d’encaisser 7 000 tours/min.
Le travail sur les injecteurs et la pompe à injection a permis d’obtenir un meilleur débit de carburant et d’optimiser l’injection. L’évolution de la culasse, des soupapes et la présence d’un nouveau joint de culasse répondent aux contraintes thermomécaniques liées à la puissance de l’Alpine.
Parmi les autres évolutions notables, je peux aussi vous citer les lois d’arbre à came pour un meilleur remplissage du moteur à haut régime, la pompe à eau compatible avec l’augmentation du régime maximal à 7 000 tours/min ainsi que le collecteur d’échappement et le turbocompresseur Twin Scroll pour un compromis couple à bas régime/puissance maximale optimum. »
Quelles sont ses différences par rapport à sa déclinaison 252 ch utilisée sous le capot de la Nouvelle Alpine A110 ?
« La principale différence concerne le turbocompresseur, qui devait répondre aux deux cahiers des charges d’Espace et d’Alpine : couple maximal à 1 750 tours/min pour le premier ; puissance maximale à 6 000 tours/min pour la seconde. La majorité des pièces sont communes mais, pour Espace, nous avons décidé d’adopter un collecteur d’échappement et une double entrée (Twin Scroll) qui favorisent le couple à bas régime. La roue compresseur a également été développée spécifiquement pour chaque version.
Sur Alpine, nous avons en plus dû : modifier la jauge à huile pour améliorer son accessibilité dans le coffre moteur arrière, développer un carter d’huile semi-étanche avec plaque anti-déjaugeage pour être compatible avec son niveau d’accélération latérale très élevé et renforcer le volant bi-masse à cause du couple supérieur.
Cependant, on a bien une base moteur très proche, pour ne pas dire identique, entre ces deux modèles. D’ailleurs, je vous mets au défi de voir les différences de l’extérieur ! »
Source : itw rapportée sur le FAR par un membre qui tenait ca du site Mégane RS.
Pour l'Espace ou l'Alpine ? Si sur l'Alpine ça me parait une bonne chose de limiter le couple (un peu comme ta remarque sur le couple de la 308 GTi), sur l'Espace ça me parait plus curieux en effet.mad max a écrit :oui, c'est marrant de communiquer sur le couple tout en utilisant la boîte qui est le plus bridé.