
La ligne de la Fuego fait d'abord et avant tout penser à de l'emboutie économique. La ceinture de caisse est hideuse, toujours mal ajustée, le décrochement des vitres casse une ligne aux allures fades et planplan, tout ça fleure bon l'approximatif typique des Renault de l'époque.
L'avant de Renault 18 et les gros feux tout moche à l'arrière finissent d'achever le tableau, avec, cerise sur le gâteau, un intérieur complètement daubique.
