Forum de L'Automobile Sportive

Ca doit ruiner le bitume de traîner ces blocs de béton... à moins qu'ils soient sur patins en PTFE ?

J'ai l'impression que le bousin les soulève. En revanche, dans l'idée c'est pas con. En RP quand tu vois les 3 fils dans l'autre sens vide et que toi, tu tapes 3h de bouchon ....

Sur une grande avenue à Barcelone le sens de chaque voie est régi par des signaux lumineux, ça marche bien mais ça fait drôle la première fois.
Il me semble que c'est le cas dans un tunnel aussi. Le tout à faible vitesse (50).

A Conakry en Guinée, ils font plus simple.
La ville fait une petite péninsule desservie par une autoroute en 2 x 2voies.
En heure de pointe le matin les 4 voies vont vers la ville, et le soir en heure de pointe les 4 voies vont dans le sens inverse, facile
Le seul problème c'est quand tu veux aller dans l'autre sens...
Tu te retrouve sur une petite départementale complétement défoncée avec un trafic monstrueux, c'est assez impressionnant
De toute façon, c'est la pire ville que j'ai vu sur beaucoup de critères

Turbo974 a écrit :On a quelque chose dans le genre aussi à la Réunion depuis au moins 2000, son nom "Ladi Lafé" (ça a été dit, ça a été fait en traduction grossiére) :



Suite à son passage, on a ce qu'on appelle des canals bichique (petit allevin) 3 voie de circulation sur une route normalement à 2 voie + la bande d'arrêt d'urgence.

Je l'ignorai mais effectivement le principe est identique

http://www.braquages.com/?p=797



Ce truc de gros débile

Super ! J'ignorais que Shadow avait accouché d'un truc pareil !

Le Can AM, c'était vraiment la foire à la saucisse. Le nirvana de l'ingénieur.

Quand tu crée une discipline avec une avec un poids maximum et une cylindrée minimum pour quasiment seules règles ça part forcément n'importe comment !!

Cette Shadow Mk1 n'est que le début.

http://www.automobile-sportive.org/view ... =22&t=2863

Paul Menissier Spécial

Le bicylindre 850 Panhard avait l'avantage de faire moins de 1000 cm3 et donc de pouvoir courir en petite catégorie mais aussi d'avoir d'origine est très bon rendement pour l'époque puisque la version Tigre sortait 50 ch et jusqu'à 65 ch en compétition.



pms_pa10 par Raaur, sur Flickr

Il fut utilisé par de nombreux petits constructeurs en compétition comme Charles Deutch, Deutch-Bonnet mais ce fut le cas aussi du pilote/constructeur Paul Ménissier. Il était aussi concessionnaire Citroën et a conçu en 1959 cette barquette sur la base d'un châssis de Dyna X.


3029e202b7 par Raaur, sur Flickr

Il a voulu garder la traction avant chère à Panhard et Citroën mais améliorer la répartition des masses pour diminuer le sous virage. La solution qui pour l'instant est unique en son genre est de mettre le moteur en position central arrière !! Cette solution est déjà en soit assez révolutionnaire en tout cas très rare à l'époque mais alors l'associer à la traction avant c'est du jamais vu. Soit l'inverse de ce qui ce faisait à l'époque où la majorité (voir toutes) les voitures de compétition étaient des propulsions à moteur avant.


barquette_3-4_rear par Raaur, sur Flickr


barquette_cockpit par Raaur, sur Flickr

Elle fut engagé plusieurs fois à la course de Côte du Pin entre 1960 et 1965. Au cours des années le bicylindres Panhard fut remplacé par un 4 cylindres Alfa. Il participera aussi plusieurs fois au rallye de Monte Carlo au volant d'une Citroën ID.

Pourquoi faire simple quand ont peu ....

Étonnant.

Une impasse technique.

Le mot "baquet" prend tout son sens sur cette voiture.

un peu en rapport avec le sujet, quelques vidéos réalisées par l'ACO avec "Fred" de C'est pas sorcier : http://www.24h-inside.com/

Web a écrit :un peu en rapport avec le sujet, quelques vidéos réalisées par l'ACO avec "Fred" de C'est pas sorcier : http://www.24h-inside.com/

Bien expliqué dommage que tout ne soit pas encore publié.

Je viens de découvrir ça
Y'a des mecs qui sont d'une logique implacable

Quand je dis que le rallycross est un sport de plouc mal dégrossi
Le type (sans doute ingénieur en futs de calva) a juste croisé une 530 avec un Massey

Beau tas de rouille!

a11555002 by Raaur, on Flickr

Alors qu'à l'âge de 6 ans, les enfants quittent les bacs à sable pour prendre, dans les pleurs et les jupons de leurs mères, le chemin de l'école, Albert Derancourt, lui, passe son temps dans sa voiture de course, une Salmson. Né en 1915, titulaire du permis de conduire en 1921 (il n'y avait pas de restriction d'âge à l'époque), le jeune Albert est le plus jeune conducteur au monde. Sa notoriété dépasse vite le cadre d'Etampes. A 7 ans, il roule à plus de 130 km/h sur l'autodrome de Montlhéry. A 8 ans, il gagne le rallye Paris-La Baule et apprend à conduire à l'adjudant Bonnet, recordman mondial de vitesse en avion. A 16 ans, il ravit à l'Anglais Austin le record du monde avec une pointe à 210 km/h. Reconverti dans l'aviation, moniteur à Villacoublay (Yvelines), il décède dans un accident, le 21 août 1955, à l'âge de 40 ans, alors qu'il donnait un cours qu'il n'aurait jamais dû donner. Françoise, sa veuve, raconte les débuts du conducteur précoce. « Il a appris tout seul. Son père a découvert le pot aux roses en entrant, un matin, dans le garage. La voiture avait changé d'emplacement et une tache d'huile ornait le sol. Albert s'entraînait en cachette dans le garage. » Conduisant dans des voitures prévues pour des adultes, Albert Derancourt n'hésite pas à utiliser des cales sous ses pieds pour se grandir et atteindre les pédales. Il disparaît presque complètement lorsqu'il freine.
Il tourne un film à Hollywood


260_0011 by Raaur, on Flickr

La presse étrangère s'empare du phénomène. Les Américains l'invitent pour une série d'exhibitions. Il tourne même un film, non distribué en France, à Hollywood, avec Jackie Coogan, un enfant star du cinéma (il a joué notamment dans « le Kid », de Charlie Chaplin). Sinon, son emploi du temps consiste, en dehors des cours, à promener les « reines de beauté » d'Etampes dans les différentes manifestations officielles. Il exerce aussi ses talents dans des exhibitions où il pratique le gymkhana. Lors d'une de ces manifestations, Albert Derancourt doit, entre autres choses, maintenir l'équilibre de sa voiture sur une planche en bois, elle-même posée sur un rouleau. Témoignage de sa célébrité, Françoise exhibe la correspondance du boxeur américain Jack Dempsey. A la veille d'un match, Dempsey, champion du monde des lourds en 1919, décrit, plein d'admiration, sa rencontre avec le « petit Français ». Actuellement, la mairie d'Etampes projette de donner le nom du jeune conducteur à une des rues de la commune.
Le Parisien

http://www.leparisien.fr/essonne/albert ... 514889.php


Il était le fils de Marie Léonie Derancourt (née en 1886), pilote automobile elle-même, qui tenait avec son mari un garage 26, rue Saint-Jacques, à Etampes, petite ville de la banlieue parisienne à une trentaine de kilomètres de l’autodrome de Montlhéry. C’est elle qui acheta la Bugatti sur laquelle son fils battit des records.
Par la suite, Albert Derancourt passa son brevet de pilote aérien et devint le président de l’Aéro-club de Beauce, dont le trésorier était René Langlois, marchand de pièces détachées pour automobiles à Etampes (16, rue Paul Doumer). C’est dire si, à cette époque de pionniers, l’automobile et l’avion étaient étroitement liés.
Albert Derancourt trouva la mort dans les années 1950. Au cours d’une journée de baptêmes de l’air sur l’aérodrome de Mondésir, près d’Etampes, il voulut, semble-t-il, impressionner sa passagère en faisant de la voltige. Son avion s’écrasa causant sa mort et celle de sa passagère.
Sa veuve, Marie Derancourt, continua à tenir un certain temps le garage qui se trouvait alors 104, boulevard Saint-Michel, toujours à Etampes.

http://blog.autoplus.fr/autovibes/2008/ ... du-volant/

Impressionnant !

A l'époque entre Etampes et Montlhéry, il y avait quand même pas mal de choses autour de l'automobile...
C'est marrant car hier soir, c'est justement sur ce trajet que j'ai suivi une Type-E V12 !

Avoir le permis à 6 ans quand même... Il était sûrement bien plus mature qu'un gosse de 6 ans aujourd'hui...

En même temps, naitre en plein dans la grande guerre ça doit pas aider à garder sa candeur enfantine.

je viens de découvrir la Delage V12 (1937), probablement le premier proto à aborder l'effet de sol :



malheureusement détruit lors de tests

C'est problématique

De toute façon la guerre n'aurait rien laissé
Il y a d'ailleurs une multitude de projets auto qui ont été stoppés/retardés (la deuche pour parler de la plus connue) mais on a pu conserver et cacher les plans/protos. Et beaucoup d'autres ont carrément disparus et les documents on soit été supprimés et définitivement perdus soit volés et réutilisés ensuite par l'occupant. Il sera d'ailleurs probablement toujours impossible de savoir si telle ou telle avancée technologique du 3ème reich est effectivement à mettre au profit des ingénieurs allemands ou plutôt des vols dans les différents pays occupés...

Dog Sack:
http://www.thepetrolstop.com/2013/07/ra ... -sack.html

Nom de Dieu, il y aurait il une photo en situation de cette chose