
Mais comme c'est pas forcément moi qui en parle le mieux, j'ai trouvé quelqu'un qui le fait très bien pour ouvrir la marche : https://rnrautoblog.com/2015/11/14/1999 ... 8i-review/
A quoi j'ajoute, un superbe rapport qualité/prix/plaisir, aujourd'hui totalement disparu.Je dis convoité car à ce jour, de nombreux passionnés de voitures considèrent toujours la génération E46 (1999-2005) comme l'une des meilleures séries 3 jamais produites. Comme avec la plupart des itérations, la série 3 a grandi en taille et en confort à chaque évolution, mais cette E46 représente un équilibre parfait de ce qu'était la série 3: maniabilité et équilibre dans un format bien taillé.
J'en suis même à me dire que ça sera mieux quand on aura définitivement quitté la voiture thermique pour s'éviter toutes les daubes insipides du moment. Au moins avec l'électrique, fini les rivalités, le tabassage fiscal (on peut rêverIl y a une qualité organique et fluide dans sa façon de conduire, et cela se reflète à travers sa direction. La direction se sent en fait connectée à quelque chose, et la voiture réagit comme s'il s'agissait d'une extension de votre corps. La réaction est instantanée et vous êtes constamment étonné de voir comment la voiture est capable de réagir avec une telle agilité. Au début, il est facile d'être rebuté par la direction lourde, ce qui est normal étant donné que la plupart des voitures ont aujourd'hui une direction légère. Cependant, à mesure que vous vous habituez à conduire la voiture et que vous découvrez comment elle se comporte, vous découvrez que la direction lourde complète bien son comportement de conduite. La direction transmet les commentaires et envoie les textures de la route au bout des doigts. Lorsque vous le poussez, il est ludique mais composé.
Oui. D'ailleurs la seule trace de freinage constatée après avoir actionné les freins, c'était dans le caleçon.