
L'automobile en crise
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Re: L'automobile en crise ?
On pourra toujours pérorer et caqueter les deux pieds dans la merde, n'empêche qu'à l'heure actuelle, pas besoin d'avoir fait un master en économie appliquée pour comprendre quelle industrie fonctionne le mieux. 

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Re: L'automobile en crise ?
Nos industriels sont aussi les mêmes à se plaindre de notre balance commerciale et à faire une croix sur plusieurs marchés
mais heureusement que pour eux on a la parité euro/dollar

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Re: L'automobile en crise ?
le marché automobile russe s'est effondré de 42,5% en un an 

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Re: L'automobile en crise ?
un petit article sur le blog : http://blog.automobile-sportive.org/201 ... -unis.html
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Re: L'automobile en crise ?
Jeep est en train de péter la cabane avec ses nouveaux modèles. C'est eux qui ont le plus fort taux de pénétration en Europe cette année.

Ils font un carton avec le Renégade en particulier.


Ils font un carton avec le Renégade en particulier.

- Jean-Louis
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Re: L'automobile en crise ?
Passer de 2 ventes à 200 ce n'est pas très durDtcrt a écrit :Jeep est en train de péter la cabane avec ses nouveaux modèles. C'est eux qui ont le plus fort taux de pénétration en Europe cette année.![]()
Ils font un carton avec le Renégade en particulier.

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Re: L'automobile en crise ?
Tu es taquin.
Ceci-dit, c'est vrai que je commence à en voir pas mal, de ces machins plus ou moins difformes.

Ceci-dit, c'est vrai que je commence à en voir pas mal, de ces machins plus ou moins difformes.

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Re: L'automobile en crise ?
c'est une Fiat aussi ça ?
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Re: L'automobile en crise ?
Alors là tu m'en pose une.
Ou un espace V recarossé non ?

Ou un espace V recarossé non ?

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Re: L'automobile en crise ?
Base Fiat 500X je crois oui. :oui
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Re: L'automobile en crise ?
[quote="Sayemone"]Base Fiat 500X je crois oui. 

- Jean-Louis
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Re: L'automobile en crise ?
Oui et elles partagent la plateforme de la Giulietta je croisSayemone a écrit :Base Fiat 500X je crois oui.
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Re: L'automobile en crise ?
C'est le concept actuel qui fait vendre, le SUV ou pseudo-SUV moche comme les 2008, 3008 et Captur!Dtcrt a écrit :Tu es taquin.![]()
Ceci-dit, c'est vrai que je commence à en voir pas mal, de ces machins plus ou moins difformes.
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Re: L'automobile en crise ?
Alors que les réseaux de distribution ont déjà vu leur part de marché s'effondrer depuis 2010 sur le marché de l'après-vente, une étude commandée par la branche des concessionnaires du CNPA montre que la descente infernale est loin d'être terminée.
Les chiffres sont éloquents : en 2010, le nombre d'opérations de réparation et de maintenance a diminué de 5,6 % entre 2010 et 2013. De 52,1 millions en 2010, le volume est passé à 49,2 millions en 2013. Et les prévisions de TCG Conseil, cabinet d'étude commandité par la branche des concessionnaires VP du CNPA, ne sont guère plus optimistes pour les années à venir. Selon leurs estimations, ce marché perdrait encore 4 % d'ici à 2018 et 6,8 % d'ici à 2022 pour ne peser plus "que" 45,9 millions d'opérations.
Les réparations mécaniques en chute libre
En dix ans, de 2013 à 2022, le marché perdrait donc 6,2 millions d'interventions essentiellement dans le secteur de la réparation mécanique (-23,8 % sur la même période), des pneumatiques (-4,6 %). La maintenance étant la seule à conserver un peu de croissance (+1,4 %) mais entre 2010 et 2013, celle-ci avait perdu 12,7 % d'opérations notamment à cause de l'espacement et des pas d'entretien plus longs.
Plus d'un milliard d'euros de perte de marché
En valeur, bien sûr, la photographie du marché n'est pas très réjouissante. La baisse se compte en milliard d'euros - 1,148 exactement- au rythme de 1,3 % sur la période entre 2010 et 2012 pour ensuite atterrir avec une régression de 0,7 % par an jusqu'en 2022.
Mais en élargissant le spectre de l'activité avec la réparation-collision, le bris-de-glace ou encore la garantie, la baisse s'estompe.
Ainsi, au final, en 2022, TCG Conseil prévoit 53,723 millions d'opérations à l'atelier, en baisse de 7 % par rapport à 2013 (57,766 millions en 2013) et, en valeur, un marché de 29,697 milliards d'euros contre 30,012 milliards d'euros en 2013 soit une baisse de 1%.
Le consommateur change de réparateur en fonction de ses besoins
Les consommateurs ont de moins en moins peur de perdre leur garantie s'ils font entretenir leur véhicules en dehors des réseaux constructeurs.
Les consommateurs ont de moins en moins peur de perdre leur garantie s'ils font entretenir leur véhicule en dehors des réseaux constructeurs.
Face à ce gâteau qui ne cesse de se réduire, comment vont se comporter les consommateurs, quels choix de réseaux vont-ils faire ? et comment vont se positionner les réseaux de constructeurs ?
Selon le cabinet TCG Conseil, de nombreux critères sont essentiels dans le choix du consommateur. Si la compétence technique, la qualité des travaux, la confiance, la compétitivité des prix ou encore la transparence de la facture sont essentielles aux yeux de l'automobiliste, le choix d'un prestataire pour réparer son véhicule n'est pas figé, ni exclusif. 42 % des automobilistes font appel en effet à plusieurs prestataires pour entretenir et réparer leur véhicule en mixant les critères prix et compétences.
Le concessionnaire perdra encore 8,5 points de part de marché !
Les comptes ont beau être tournés dans tous les sens, la réparation indépendante poursuit son ascension, lente, tranquille mais indétrônable ! En 2010, le canal des indépendants pesait 56 % des opérations de réparation. En 2013, il dépassait les 60 %. En 2022, il dépassera les 62 %. A contrario, les réseaux constructeurs (concessionnaires et agents) perdent pied. Ils ne disposeraient plus que de 35 % de parts de marché en 2002 contre 39,6 % en 2013. Et en valeur, ceux-ci n'obtiendraient que 37,8 % du chiffre d'affaires généré contre 46,3 % en 2013.
Lire la suite: http://www.largus.fr/actualite-automobi ... z3XZGJ3iJi
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Les chiffres sont éloquents : en 2010, le nombre d'opérations de réparation et de maintenance a diminué de 5,6 % entre 2010 et 2013. De 52,1 millions en 2010, le volume est passé à 49,2 millions en 2013. Et les prévisions de TCG Conseil, cabinet d'étude commandité par la branche des concessionnaires VP du CNPA, ne sont guère plus optimistes pour les années à venir. Selon leurs estimations, ce marché perdrait encore 4 % d'ici à 2018 et 6,8 % d'ici à 2022 pour ne peser plus "que" 45,9 millions d'opérations.
Les réparations mécaniques en chute libre
En dix ans, de 2013 à 2022, le marché perdrait donc 6,2 millions d'interventions essentiellement dans le secteur de la réparation mécanique (-23,8 % sur la même période), des pneumatiques (-4,6 %). La maintenance étant la seule à conserver un peu de croissance (+1,4 %) mais entre 2010 et 2013, celle-ci avait perdu 12,7 % d'opérations notamment à cause de l'espacement et des pas d'entretien plus longs.
Plus d'un milliard d'euros de perte de marché
En valeur, bien sûr, la photographie du marché n'est pas très réjouissante. La baisse se compte en milliard d'euros - 1,148 exactement- au rythme de 1,3 % sur la période entre 2010 et 2012 pour ensuite atterrir avec une régression de 0,7 % par an jusqu'en 2022.
Mais en élargissant le spectre de l'activité avec la réparation-collision, le bris-de-glace ou encore la garantie, la baisse s'estompe.
Ainsi, au final, en 2022, TCG Conseil prévoit 53,723 millions d'opérations à l'atelier, en baisse de 7 % par rapport à 2013 (57,766 millions en 2013) et, en valeur, un marché de 29,697 milliards d'euros contre 30,012 milliards d'euros en 2013 soit une baisse de 1%.
Le consommateur change de réparateur en fonction de ses besoins
Les consommateurs ont de moins en moins peur de perdre leur garantie s'ils font entretenir leur véhicules en dehors des réseaux constructeurs.
Les consommateurs ont de moins en moins peur de perdre leur garantie s'ils font entretenir leur véhicule en dehors des réseaux constructeurs.
Face à ce gâteau qui ne cesse de se réduire, comment vont se comporter les consommateurs, quels choix de réseaux vont-ils faire ? et comment vont se positionner les réseaux de constructeurs ?
Selon le cabinet TCG Conseil, de nombreux critères sont essentiels dans le choix du consommateur. Si la compétence technique, la qualité des travaux, la confiance, la compétitivité des prix ou encore la transparence de la facture sont essentielles aux yeux de l'automobiliste, le choix d'un prestataire pour réparer son véhicule n'est pas figé, ni exclusif. 42 % des automobilistes font appel en effet à plusieurs prestataires pour entretenir et réparer leur véhicule en mixant les critères prix et compétences.
Le concessionnaire perdra encore 8,5 points de part de marché !
Les comptes ont beau être tournés dans tous les sens, la réparation indépendante poursuit son ascension, lente, tranquille mais indétrônable ! En 2010, le canal des indépendants pesait 56 % des opérations de réparation. En 2013, il dépassait les 60 %. En 2022, il dépassera les 62 %. A contrario, les réseaux constructeurs (concessionnaires et agents) perdent pied. Ils ne disposeraient plus que de 35 % de parts de marché en 2002 contre 39,6 % en 2013. Et en valeur, ceux-ci n'obtiendraient que 37,8 % du chiffre d'affaires généré contre 46,3 % en 2013.
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Re: L'automobile en crise ?
vu le prix des entretiens/réparations en concession pas étonnant que les gens aillent voir ailleurs... 

- Jbay
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Re: L'automobile en crise ?
c'est pas plutôt la 500X qui reprend la base de la Jeep (ou les deux qui ont été crée autour d'une base spécifique a ses deux model).Sayemone a écrit :Base Fiat 500X je crois oui.![]()
en tous cas la 500X n'a rien a voir avec les 500 et 500L niveau architecture et transmission par contre elle a plus ou moins la même chose que la petite Jeep Renegade
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Re: L'automobile en crise ?
Les importations de voitures en Russie ont reculé de 45,4 % au cours des trois premiers mois de l’année, à 87 316 unités, celles de véhicules utilitaires légers ont chuté de 72 %, à quelque 3 714 unités, celles de véhicules de fort et moyen tonnages ont baissé de 75 %, à 1 871 unités, et celles d’autobus ont diminué de 80,8 %, à 50 unités, indique le Service des Douanes (FCS). (AUTOSTAT 30/4/15)
http://www.ccfa.fr/Les-importations-de- ... -en-147996
http://www.ccfa.fr/Les-importations-de- ... -en-147996
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Re: L'automobile en crise ?
La décision d’acquérir, pour le compte de l’armée de Terre, 1.000 véhicules 4×4 Ranger du constructeur américain Ford continue de faire polémique. Ce choix est critiqué parce qu’il a mis sur la touche le Duster présenté par Renault-Dacia et le Berlingo 4×4 de Citroën. En clair, certains s’offusquent que le « made in France » n’ait pas été jugé prioritaire.
Encore une fois, quand on regarde les choses avec un peu de recul au lieu de réagir à chaud, cette polémique n’a pas lieu d’être, même si l’on peut comprendre la déception de l’entreprise Poclain qui aurait pu, d’après l’Est Républicain, soutenir son activité en transformant les Duster si ces derniers avaient été choisis pour équiper l’armée de Terre.
Certes, les Ranger seront fabriqués en Afrique du Sud pour le compte d’un groupe américain… Mais les Duster l’auraient été en Roumanie et les Berlingo en Espagne. En clair, cette commande n’aurait de toute façon pas permis soutenir une activité industrielle en France.
D’autre part, l’armée de Terre a un besoin urgent de renouveler son parc de véhicules 4×4. Pourquoi? Tout simplement parce que les Peugeot P4, entrés en service il y a plus de 30 ans, sont à bout de souffle : 600 exemplaires sont ainsi retirés du service chaque année. C’est la raison pour laquelle 334 Land Rover Defender furent commandés en 2009 pour répondre aux besoins du COFAT (Commandement de la Formation de l’armée de Terre).
Quant à l’option qui consisterait à remettre en état les P4, elle n’est même pas envisageable à cause de son coût prohibitif. Personne n’imaginerait retaper une Renault 18 pour l’utiliser en 2015, sauf si on a l’âme d’un collectionneur et l’amour des voitures anciennes!
Quoi qu’il en soit, pour doter rapidement chacun de ses régiments d’une dizaine de véhicules destinés au service courant, l’armée de Terre s’est donc tournée vers l’Union des Groupements d’Achats Publics (UGAP). D’où le choix du Ford Ranger parmi les 2 solutions proposées.
« Les trois modèles sont produits à l’étranger, même s’il existe une étape de transformation finale en France. Les coûts d’acquisition sont similaires. Mais seul le Ford Ranger propose une charge utile satisfaisante », a ainsi expliqué le Sirpa Terre, qui a fait valoir qu »il n’existe pas de « véhicule 100% français répondant à ce besoin, immédiatement disponible sur le marché ».
Maintenant, ces Ranger ne vont pas remplacer l’ensemble des P4 qui roulent encore. Le remplacement de ces derniers, qui est dans les tuyaux depuis longtemps, fait actuellement l’objet du programme VLTP (Véhicule léger tactique polyvalent), qui, placé sous la responsabilité de la Direction générale de l’armement (DGA), est en cours de « définition ».
« Une première commande de 2450 exemplaires devrait être faite, suivie d’une seconde d’environ 2000 exemplaires », précise le Sirpa Terre. « Ce marché, comme tous les programmes d’armement, fera l’objet d’un appel d’offres et d’une mise en compétition, à laquelle les constructeurs français pourront bien évidemment concourir », a-t-il ajouté. Et là, un industriel comme ACMAT aurait toutes ses chances. Les premières livraisons sont attendues à partir des années 2020.
http://www.opex360.com/2015/05/06/le-re ... nees-2020/
Encore une fois, quand on regarde les choses avec un peu de recul au lieu de réagir à chaud, cette polémique n’a pas lieu d’être, même si l’on peut comprendre la déception de l’entreprise Poclain qui aurait pu, d’après l’Est Républicain, soutenir son activité en transformant les Duster si ces derniers avaient été choisis pour équiper l’armée de Terre.
Certes, les Ranger seront fabriqués en Afrique du Sud pour le compte d’un groupe américain… Mais les Duster l’auraient été en Roumanie et les Berlingo en Espagne. En clair, cette commande n’aurait de toute façon pas permis soutenir une activité industrielle en France.
D’autre part, l’armée de Terre a un besoin urgent de renouveler son parc de véhicules 4×4. Pourquoi? Tout simplement parce que les Peugeot P4, entrés en service il y a plus de 30 ans, sont à bout de souffle : 600 exemplaires sont ainsi retirés du service chaque année. C’est la raison pour laquelle 334 Land Rover Defender furent commandés en 2009 pour répondre aux besoins du COFAT (Commandement de la Formation de l’armée de Terre).
Quant à l’option qui consisterait à remettre en état les P4, elle n’est même pas envisageable à cause de son coût prohibitif. Personne n’imaginerait retaper une Renault 18 pour l’utiliser en 2015, sauf si on a l’âme d’un collectionneur et l’amour des voitures anciennes!
Quoi qu’il en soit, pour doter rapidement chacun de ses régiments d’une dizaine de véhicules destinés au service courant, l’armée de Terre s’est donc tournée vers l’Union des Groupements d’Achats Publics (UGAP). D’où le choix du Ford Ranger parmi les 2 solutions proposées.
« Les trois modèles sont produits à l’étranger, même s’il existe une étape de transformation finale en France. Les coûts d’acquisition sont similaires. Mais seul le Ford Ranger propose une charge utile satisfaisante », a ainsi expliqué le Sirpa Terre, qui a fait valoir qu »il n’existe pas de « véhicule 100% français répondant à ce besoin, immédiatement disponible sur le marché ».
Maintenant, ces Ranger ne vont pas remplacer l’ensemble des P4 qui roulent encore. Le remplacement de ces derniers, qui est dans les tuyaux depuis longtemps, fait actuellement l’objet du programme VLTP (Véhicule léger tactique polyvalent), qui, placé sous la responsabilité de la Direction générale de l’armement (DGA), est en cours de « définition ».
« Une première commande de 2450 exemplaires devrait être faite, suivie d’une seconde d’environ 2000 exemplaires », précise le Sirpa Terre. « Ce marché, comme tous les programmes d’armement, fera l’objet d’un appel d’offres et d’une mise en compétition, à laquelle les constructeurs français pourront bien évidemment concourir », a-t-il ajouté. Et là, un industriel comme ACMAT aurait toutes ses chances. Les premières livraisons sont attendues à partir des années 2020.
http://www.opex360.com/2015/05/06/le-re ... nees-2020/
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Re: L'automobile en crise ?
Mercedes devrait céder certaines de ses concessions des Länder d’ex-Allemagne de l’Est au groupe chinois Lei Shing Hong.
Cette transaction devrait concerner 15 points de vente dans les villes de Magdebourg, Leipzig, Schwerin, Dresde et Rostock. Mercedes devrait toutefois conserver ses concessions berlinoises. (AUTOMOTIVE NEWS EUROPE 16/6/15, HANDELSBLATT 17/6/15)
http://www.ccfa.fr/Mercedes-devrait-ced ... nes-149509
Cette transaction devrait concerner 15 points de vente dans les villes de Magdebourg, Leipzig, Schwerin, Dresde et Rostock. Mercedes devrait toutefois conserver ses concessions berlinoises. (AUTOMOTIVE NEWS EUROPE 16/6/15, HANDELSBLATT 17/6/15)
http://www.ccfa.fr/Mercedes-devrait-ced ... nes-149509
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Re: L'automobile en crise ?
Que des coins sympas 

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Re: L'automobile en crise ?
Les ventes de voitures de luxe en Russie ont fait un bond de 95 % au cours du premier semestre de 2015, à 545 unités, sur un marché global en chute de 40 %, souligne l’agence Autostat.
Les ventes de Rolls Royce, notamment, ont augmenté de 40 % sur six mois, à 87 unités. Lamborghini a vendu 12 voitures au premier semestre, Ferrari en a écoulé 9 et Aston Martin, 3. En revanche, les ventes de Bentley ont diminué de 15 %, à 103 unités, et celles de Maserati de 16 %, à 46 unités.
http://www.ccfa.fr/Le-segment-des-voitu ... -en-150662
Les ventes de Rolls Royce, notamment, ont augmenté de 40 % sur six mois, à 87 unités. Lamborghini a vendu 12 voitures au premier semestre, Ferrari en a écoulé 9 et Aston Martin, 3. En revanche, les ventes de Bentley ont diminué de 15 %, à 103 unités, et celles de Maserati de 16 %, à 46 unités.
http://www.ccfa.fr/Le-segment-des-voitu ... -en-150662
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Re: L'automobile en crise ?
On voit lesquels "profitent" de la crise là-bas, tout va bien... 

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Re: L'automobile en crise ?
Installé aux Etats-Unis depuis les années 80, Mitsubishi a décidé de fermer sa seule et unique usine américaine, située à Normal dans l’Illinois.
Tetsuro Aikawa, directeur général du groupe, a confirmé l’information lors d’une conférence de presse au Japon le 27 juillet. Certaines publications avaient annoncé la décision du constructeur dès le 24 juillet, au conditionnel.
L’usine de Normal, qui produisait à ses débuts il y a une quinzaine d’année quelque 200 000 véhicules par an, en a fabriqué l’an passé seulement 69 178, des SUV Outlander Sport/ASX. La production, qui a fortement progressé depuis 5 ans, après l’année noire de 2009, reste toutefois insuffisante pour atteindre la rentabilité. Mitsubishi cherche un repreneur pour le site et ses 900 salariés. Subaru, dont les ventes aux Etats-Unis connaissent une forte croissance et qui cherche à y ouvrir une usine, pourrait être un candidat idéal.
Mitsubishi devrait profiter de ce désengagement industriel aux Etats-Unis pour se concentrer sur ses investissements en Asie et Asie du sud-est, au Japon et en Russie. (AUTOMOTIVE NEWS, REUTERS 27/7/15)
http://www.ccfa.fr/Mitsubishi-confirme-la-fermeture
Tetsuro Aikawa, directeur général du groupe, a confirmé l’information lors d’une conférence de presse au Japon le 27 juillet. Certaines publications avaient annoncé la décision du constructeur dès le 24 juillet, au conditionnel.
L’usine de Normal, qui produisait à ses débuts il y a une quinzaine d’année quelque 200 000 véhicules par an, en a fabriqué l’an passé seulement 69 178, des SUV Outlander Sport/ASX. La production, qui a fortement progressé depuis 5 ans, après l’année noire de 2009, reste toutefois insuffisante pour atteindre la rentabilité. Mitsubishi cherche un repreneur pour le site et ses 900 salariés. Subaru, dont les ventes aux Etats-Unis connaissent une forte croissance et qui cherche à y ouvrir une usine, pourrait être un candidat idéal.
Mitsubishi devrait profiter de ce désengagement industriel aux Etats-Unis pour se concentrer sur ses investissements en Asie et Asie du sud-est, au Japon et en Russie. (AUTOMOTIVE NEWS, REUTERS 27/7/15)
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Re: L'automobile en crise ?
le ralentissement chinois inquiète les constructeurs 

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