Ah là c'est clair que c'est la pitrerie de l'année.

Oh pardon :
MadMax, au contraire. Le choix de Biki trouve son éclairage dans l'éclectisme raisonné de quelqu'un qui a su trancher entre diverses solutions techniques, toutes plus intéressantes les unes que les autres.
C'est une vraie démarche conciliant maturité et pragmatisme.

Bon on passera sur le fait qu'elle est déjà moumouté comme toute Honda qui se respecte, avec ses jantes de compète.

Je reconnais bien de toutes façons le lobbying forcené du transfuge à rillettes qui, à peine arrivé sur la capitale, bourrait déjà le crâne de notre pauvre Biki au sujet de cette Civic.
