Affaire Volkswagen : l'heure des comptes
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Affaire Volkswagen : l'heure des comptes
apparemment Porsche et Audi ne s'entendent pas sur la future plateforme modulaire MSB destinées aux crossovers du groupe. Audi a rejeté le projet confié à Porsche.
Sur le châssis actuel (MLB) conçu par Audi, Porsche avait rendu ses conclusions : "structural deficiencies, a "compromised suspension system," an "inadequate electronic architecture" and limited powertrain flexibility"
Y'a de l'ambiance
Et comme si ça ne suffisait pas, Lamborghini n'aime pas du tout la base proposée par Porsche pour la remplaçante de la Huracan et veut développer son propre chassis carbone
Sur le châssis actuel (MLB) conçu par Audi, Porsche avait rendu ses conclusions : "structural deficiencies, a "compromised suspension system," an "inadequate electronic architecture" and limited powertrain flexibility"
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Et comme si ça ne suffisait pas, Lamborghini n'aime pas du tout la base proposée par Porsche pour la remplaçante de la Huracan et veut développer son propre chassis carbone
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- mad max
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Re: du Rififi dans la maison VAG
la guerre des coqs était à prévoir.
par contre, que Lambo - propriété d'Audi - soit envoyé au klash par Audi, ça devient moyen.
Tu es Porsche, tu leur réponds gentiment que ça leur a pas posé de problème de sortir Huracan et R8 II plus lourdes que les précédentes
par contre, que Lambo - propriété d'Audi - soit envoyé au klash par Audi, ça devient moyen.
Tu es Porsche, tu leur réponds gentiment que ça leur a pas posé de problème de sortir Huracan et R8 II plus lourdes que les précédentes
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Re: du Rififi dans la maison VAG
oui ça c'est honteux et ça dénote un développement à l'économie qui reprend en grande partie la base déjà existante...mad max a écrit :Huracan et R8 II plus lourdes que les précédentes
ce qui doit vexer les ingés Audi, c'est de ne plus concevoir justement le châssis de la R8...
Un peu comme si on te disait que tu n'est pas capable de développer ton modèle le plus haut de gamme quoi
- mad max
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Re: du Rififi dans la maison VAG
la R8 c'est une Gallardo donc de toute façon
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Re: du Rififi dans la maison VAG
et dans le même temps, Porsche leur dit que la base du Cayenne est un peu daubiquemad max a écrit :la R8 c'est une Gallardo donc de toute façon
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Re: du Rififi dans la maison VAG
en même temps c'est plus une basse court, c'est l'auberge espagnolemad max a écrit :la guerre des coqs était à prévoir
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Re: du Rififi dans la maison VAG
Attention. Nous avons affaire à une entreprise familiale. Attendons le réveillon de Noël. Tout peut encore s'arranger.
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Re: du Rififi dans la maison VAG
Audi et Porsche ne veulent pas réduire leurs investissements afin de contribuer à la réduction des coûts de 5 milliards d’euros par an prévue par le groupe Volkswagen. Les dirigeants des deux marques de haut de gamme estiment que la marque VW devrait supporter la majorité des mesures d’économies, étant donné qu’elle est moins rentable.
En outre, ces dirigeants estiment que la marque Volkswagen aurait souffert d’une mauvaise gestion. Ils reprochent notamment à la marque d’avoir trop investi dans l’usine de Chattanooga (Etats-Unis), alors que le site subit de fortes pertes, faute de modèles adaptés au marché américain.
En outre, ces dirigeants estiment que la marque Volkswagen aurait souffert d’une mauvaise gestion. Ils reprochent notamment à la marque d’avoir trop investi dans l’usine de Chattanooga (Etats-Unis), alors que le site subit de fortes pertes, faute de modèles adaptés au marché américain.
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Re: du Rififi dans la maison VAG
C'est quoi ce nom !?Web a écrit :dans l’usine de Chattanooga (Etats-Unis)
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Re: du Rififi dans la maison VAG
Vivement Noël.
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Re: du Rififi dans la maison VAG
Biki a écrit :Il semblerait que le passage à la plateforme MQB ne se soit pas fait sans dégâts.. En tout cas les économies prévues grâce à ce type de plateforme n'ont pas été celles espérées..Raaur a écrit :Audi et Porsche ne veulent pas réduire leurs investissements afin de contribuer à la réduction des coûts de 5 milliards d’euros par an prévue par le groupe Volkswagen. Les dirigeants des deux marques de haut de gamme estiment que la marque VW devrait supporter la majorité des mesures d’économies, étant donné qu’elle est moins rentable.
En outre, ces dirigeants estiment que la marque Volkswagen aurait souffert d’une mauvaise gestion. Ils reprochent notamment à la marque d’avoir trop investi dans l’usine de Chattanooga (Etats-Unis), alors que le site subit de fortes pertes, faute de modèles adaptés au marché américain.
Le SPIEGEL (27/7/14) croit savoir que ces problèmes de gestion pourraient menacer les postes de Michael Macht, responsable de la production, et de Christian Klinger, responsable de la distribution. (AUTOMOBILWOCHE 27/7/14)
Par ailleurs, le responsable du marketing de la marque Volkswagen, Simon Thomas, a présenté sa démission. Il sera remplacé par l’actuel responsable des ventes de Volkswagen en Europe, Xavier Charbon. M. Thomas, qui était également responsable du marketing pour l’ensemble des marques du groupe VW, sera remplacé à ce poste par Christian Klinger, qui occupera l’intérim. (AUTOMOTIVE NEWS EUROPE 25/7/14)
http://www.ccfa.fr/Audi-et-Porsche-ne-v ... pas-138136
http://www.caradisiac.com/Remous-chez-V ... -96506.htm
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Re: du Rififi dans la maison VAG
nouvelle saison inédite dans le Dallas allemand
Ferdinand Piech, président du conseil de surveillance de Volkswagen, a déclaré le 10 avril avoir « pris ses distances » avec Martin Winterkorn, le président du directoire, déclenchant une crise de gouvernance au sein du groupe allemand.
M. Winterkorn, qui dirige Volkswagen depuis 2007 et dont le mandat ne se termine que fin 2016, a fait savoir qu’il était déterminé à défendre son poste. Il a reçu au sein du conseil de surveillance des marques de soutien du représentant des salariés Bernd Osterloh, du ministère des Finances du Land de Basse-Saxe, qui contrôle un cinquième des droits de vote de Volkswagen, mais aussi de Wolfgang Porsche, cousin de M. Piech et représentant de la holding Porsche Automobil SE, qui détient 51 % des actions ordinaires de Volkswagen. « Les propos du Docteur Piech reflètent son opinion personnelle », a déclaré M. Porsche dans un communiqué.
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Re: du Rififi dans la maison VAG
Le groupe Volkswagen n’a jamais été aussi puissant. En 2014, il a enregistré un chiffre d’affaires de 202 milliards d’euros et écoulé plus de 10 millions de véhicules, manquant de peu la place de premier constructeur mondial derrière Toyota. Mais d’ici 2018, suivant son plan stratégique lancé en 2007, VW devrait arriver à ses fins. Or, la marque phare, Volkswagen, déçoit. Elle ne réalise que 2,5% de marge, contre 5 à 6% escomptés. Un grand plan d’économies a donc été lancé, de 5 milliards d’euros à atteindre d’ici 2017, à côté d’une politique de conquête aux Etats-Unis où les résultats sont jugés décevants.
LA SUCCESSION
Dans ce contexte, l’arrivée d’Herbert Diess chez Volkswagen, annoncée en décembre, faisait presque figure de camouflet pour Martin Winterkorn. Lui qui cumulait jusqu’à présent les fonctions de président directeur général du groupe et de la marque VW, devra abandonner ce dernier poste au profit d’Herbert Diess, ex-directeur du développement de BMW, au 1er octobre 2015. Agé de 56 ans, cet ingénieur a aussi été tout de suite pressenti (au moins par la presse allemande) comme un successeur de Martin Winterkorn à la direction opérationnelle du groupe. La succession n’aura cependant pas lieu tout de suite. Volkswagen a finalement annoncé ce vendredi 17 avril que Martin Winterkorn restera président du directoire du groupe et qu'une prolongation de contrat lui sera proposée l'an prochain. Un coup dur pour Ferdinand Piëch.
LA SECONDE SUCCESSION
Car à cette première succession s’en ajoute un seconde. Agé de 77 ans, Ferdinand Piëch devait laisser sa place de président du conseil de surveillance à Martin Winterkorn en 2017, quand ce dernier quittera ses fonctions opérationnelles chez Volkswagen. A côté de sa femme Ursula, actionnaire et membre du conseil de surveillance, "le vieux", comme il est surnommé en interne, installera ainsi un allié. La présence d’Ursula Piëch au conseil de surveillance faisait craindre aux observateurs, aux syndicats et à plusieurs membres de la famille Porsche, les autres grands actionnaires du groupe, que Ferdinand Piëch ne crée une dynastie à la tête de Volkswagen. Or tous ont confiance en Martin Winterkorn, ingénieur et industriel reconnu. Mais après la sortie de Piëch dans le Spiegel, cette seconde succession apparait remise en cause.
LES AUTRES PROTAGONISTES
Dans ce contexte de disgrâce, Herbert Diess ne serait pas le seul candidat en lice pour prendre les rênes de VW. Matthias Muller (62 ans), le directeur général de Porsche, pourrait aussi prendre la tête du groupe. Depuis décembre, chaque mouvement au sein du comité exécutif est examiné à la loupe par la presse allemande.
LES AFFAIRES DE FAMILLE
Ces questions de succession et la brouille Piëch-Winterkorn sont aussi un miroir des affaires de famille, qui ont perturbé le groupe ces dernières années. Ferdinand Piëch est connu pour son fort caractère, ses colères légendaires, ses relations tumultueuses avec ses douze héritiers. La tentative de rachat de VW par Porsche avait aussi créé beaucoup de brouilles entre les Porsche et les Piëch, les deux familles actionnaires de VW totalisant 53% du capital. Le porte-parole de la famille, Wolfgang Porsche, n’a d’ailleurs pas soutenu la position du cousin Piëch à propos de Martin Winterkorn.
Pour certains analystes, préparer leur succession est très intelligent de la part de Ferdinand Piëch et Martin Winterkorn, surtout en pleine ascension du groupe vers la place de numéro un mondial. La brouille des deux créateurs et animateurs de cette stratégie pourrait bien compliquer l’affaire.
http://www.usinenouvelle.com/article/la ... ee.N325379
LA SUCCESSION
Dans ce contexte, l’arrivée d’Herbert Diess chez Volkswagen, annoncée en décembre, faisait presque figure de camouflet pour Martin Winterkorn. Lui qui cumulait jusqu’à présent les fonctions de président directeur général du groupe et de la marque VW, devra abandonner ce dernier poste au profit d’Herbert Diess, ex-directeur du développement de BMW, au 1er octobre 2015. Agé de 56 ans, cet ingénieur a aussi été tout de suite pressenti (au moins par la presse allemande) comme un successeur de Martin Winterkorn à la direction opérationnelle du groupe. La succession n’aura cependant pas lieu tout de suite. Volkswagen a finalement annoncé ce vendredi 17 avril que Martin Winterkorn restera président du directoire du groupe et qu'une prolongation de contrat lui sera proposée l'an prochain. Un coup dur pour Ferdinand Piëch.
LA SECONDE SUCCESSION
Car à cette première succession s’en ajoute un seconde. Agé de 77 ans, Ferdinand Piëch devait laisser sa place de président du conseil de surveillance à Martin Winterkorn en 2017, quand ce dernier quittera ses fonctions opérationnelles chez Volkswagen. A côté de sa femme Ursula, actionnaire et membre du conseil de surveillance, "le vieux", comme il est surnommé en interne, installera ainsi un allié. La présence d’Ursula Piëch au conseil de surveillance faisait craindre aux observateurs, aux syndicats et à plusieurs membres de la famille Porsche, les autres grands actionnaires du groupe, que Ferdinand Piëch ne crée une dynastie à la tête de Volkswagen. Or tous ont confiance en Martin Winterkorn, ingénieur et industriel reconnu. Mais après la sortie de Piëch dans le Spiegel, cette seconde succession apparait remise en cause.
LES AUTRES PROTAGONISTES
Dans ce contexte de disgrâce, Herbert Diess ne serait pas le seul candidat en lice pour prendre les rênes de VW. Matthias Muller (62 ans), le directeur général de Porsche, pourrait aussi prendre la tête du groupe. Depuis décembre, chaque mouvement au sein du comité exécutif est examiné à la loupe par la presse allemande.
LES AFFAIRES DE FAMILLE
Ces questions de succession et la brouille Piëch-Winterkorn sont aussi un miroir des affaires de famille, qui ont perturbé le groupe ces dernières années. Ferdinand Piëch est connu pour son fort caractère, ses colères légendaires, ses relations tumultueuses avec ses douze héritiers. La tentative de rachat de VW par Porsche avait aussi créé beaucoup de brouilles entre les Porsche et les Piëch, les deux familles actionnaires de VW totalisant 53% du capital. Le porte-parole de la famille, Wolfgang Porsche, n’a d’ailleurs pas soutenu la position du cousin Piëch à propos de Martin Winterkorn.
Pour certains analystes, préparer leur succession est très intelligent de la part de Ferdinand Piëch et Martin Winterkorn, surtout en pleine ascension du groupe vers la place de numéro un mondial. La brouille des deux créateurs et animateurs de cette stratégie pourrait bien compliquer l’affaire.
http://www.usinenouvelle.com/article/la ... ee.N325379
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Re: du Rififi dans la maison VAG
Démission de Piech.
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Re: du Rififi dans la maison VAG
C'est la fin d'un règne.
Mais pas forcément de celui qu'on croit.
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Re: du Rififi dans la maison VAG
je suis sous le choc
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Re: du Rififi dans la maison VAG
"We have full confidence in the board of management of Volkswagen Group and we deeply regret the developments of the last few days. We thank Ferdinand Piëch for his decades of extraordinary and highly successful service to the Volkswagen Group. Our great loyalty to the Volkswagen Group and its 600,000 employees remains unchanged and we assume our responsibility as a principal shareholder.“
Dr. Wolfgang Porsche
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Re: du Rififi dans la maison VAG
Je vous laisse ça pour vous régaler.
https://www.stuttcars.com/about-porsche ... and-piech/
La technique est tombé face au marketing. Ils ne s'en relèveront pas.
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La technique est tombé face au marketing. Ils ne s'en relèveront pas.
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Re: du Rififi dans la maison VAG
Ça date quand même de 1971 les frictions au sein de la famille.
Un parcours exemplaire d'un point de vue technique!
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Re: du Rififi dans la maison VAG
y'a vraiment de quoi faire un film avec cette famille !
je me suis demandé pourquoi la femme de Piech avait démissionné aussi, et surtout par quel miracle elle était elle aussi entrée au conseil :
http://www.liberation.fr/economie/2012/ ... gen_814107
je me suis demandé pourquoi la femme de Piech avait démissionné aussi, et surtout par quel miracle elle était elle aussi entrée au conseil :
http://www.liberation.fr/economie/2012/ ... gen_814107
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Re: du Rififi dans la maison VAG
Il n'y a aucun miracle !! C'est juste la femme du patron.Web a écrit :je me suis demandé pourquoi la femme de Piech avait démissionné aussi, et surtout par quel miracle elle était elle aussi entrée au conseil
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Re: du Rififi dans la maison VAG
Louise Kiesling, directrice de Textilmanufacktur, et Julia Kuhn-Piëch, membre du conseil de surveillance de MAN Truck & Bus, ont été nommées membres du conseil de surveillance de Volkswagen, suite aux démissions de Ferdinand et Ursula Piëch (cf. revue de presse du 27/4/15).
Ces deux femmes sont des nièces de M. Piëch et appartiennent donc à la famille du fondateur de Volkswagen. M. Piëch, qui détient encore 13 % de Porsche SE (la holding qui détient la majorité du capital du groupe Volkswagen), s’était opposé à leur nomination, les jugeant inexpérimentées. Toutefois, la majorité du conseil de surveillance a approuvé leur intégration. Leur nomination est effective immédiatement.
Avec la nomination de Mmes Kiesling et Kuhn-Piëch, le conseil de surveillance a atteint son objectif d’un taux de féminisation de 30 %, fixé initialement pour 2016.
Par ailleurs, Stephan Weil, Premier Ministre du Land de Basse-Saxe, a déclaré que la crise de gouvernance que traversait le groupe allemand était désormais terminée. (SPIEGEL, ZEIT 30/4/15, SÜDDEUTSCHE ZEITUNG 30/4/15 ET 1/5/15, AUTOMOBILWOCHE 1/5/15, FRANKFURTER ALLGEMEINE ZEITUNG 2/5/15, AUTOMOTIVE NEWS EUROPE 3/5/15)
http://www.ccfa.fr/Deux-femmes-ont-ete-nommees-148062
Ces deux femmes sont des nièces de M. Piëch et appartiennent donc à la famille du fondateur de Volkswagen. M. Piëch, qui détient encore 13 % de Porsche SE (la holding qui détient la majorité du capital du groupe Volkswagen), s’était opposé à leur nomination, les jugeant inexpérimentées. Toutefois, la majorité du conseil de surveillance a approuvé leur intégration. Leur nomination est effective immédiatement.
Avec la nomination de Mmes Kiesling et Kuhn-Piëch, le conseil de surveillance a atteint son objectif d’un taux de féminisation de 30 %, fixé initialement pour 2016.
Par ailleurs, Stephan Weil, Premier Ministre du Land de Basse-Saxe, a déclaré que la crise de gouvernance que traversait le groupe allemand était désormais terminée. (SPIEGEL, ZEIT 30/4/15, SÜDDEUTSCHE ZEITUNG 30/4/15 ET 1/5/15, AUTOMOBILWOCHE 1/5/15, FRANKFURTER ALLGEMEINE ZEITUNG 2/5/15, AUTOMOTIVE NEWS EUROPE 3/5/15)
http://www.ccfa.fr/Deux-femmes-ont-ete-nommees-148062
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