Re: L'automobile qui va très bien !
Posté : dim. 9 nov. 2014 14:36
ça c'est un beau pied de nez à ces enculés de capitalistes de la RDA
Le forum des passionnés de voitures de sport
https://www.automobile-sportive.org/
https://www.automobile-sportive.org/viewtopic.php?f=18&t=7204
Dtcrt a écrit :Le restylage interviendrait alors au bout de 3 ans et le faux remplacement 2 ans plus tard.
Ah c'est certain que ce n'est pas la photo la plus bandante qu'il m'eut été donné de voir.Web a écrit :jolie réunion de laiderons
http://www.usinenouvelle.com/editorial/ ... ix.N306533AUTOROUTES : UN CONTRÔLE À RENFORCER
La hausse de 0,57% en moyenne des tarifs des péages autoroutiers à partir du 1er février a aussi du mal à passer. Fin décembre, Manuel Valls a renoncé à dénoncer les contrats de concessions et reporté à un groupe de travail la réflexion sur l’élaboration d’un nouveau mode de contrôle des tarifs. L’Etat dispose déjà d’instruments pour encadrer les grilles tarifaires des sociétés exploitantes des autoroutes.
Par décret, une augmentation minimum de 70% de l’inflation doit être garantie chaque année aux concessionnaires autoroutiers. Mais dans les faits, les hausses tarifaires approuvées ces dernières années par l’Etat sont allées bien au-delà. Entre 2009 et 2012, les tarifs ont ainsi progressé de 2,2 à 1,8% annuels selon les sociétés d’autoroutes, tandis que l’inflation ne dépassait pas 1,6%. Un laxisme critiqué par la Cour des comptes dans son rapport de juillet 2013, estimant que "le ministère chargé des transports ne négocie pas avec les sociétés concessionnaires d’autoroutes dans un cadre lui permettant de disposer d’un rapport de force favorable". Car ces augmentations très lourdes tiennent en grande partie par la multiplication de contrats de plan, négociés pour cinq ans.
Les sociétés d’autoroutes s’engagent à réaliser des investissements supplémentaires en compensation d’une hausse des tarifs de même montant. Or la cour des comptes estime que l’utilité de tous ces contrats de plans pour les usagers n’était pas toujours avérée et que les investissement présentés découlaient parfois "des obligations normales des concessionnaires". Les sages de la rue Cambon plaident pour un durcissement du contrôle de l’Etat, avec notamment la mise en place d’un plafond pour les hausses tarifaires annuelles et la systématisation de contre-expertises pour évaluer les coûts prévisionnels des investissements avancés par les sociétés d’autoroutes.
Grâce à un bond de 7%, le groupe FCA a vendu 4,75 millions de véhicules dans le monde en 2014